L'écho d'un passage
En 1854, le parc Longchamp fut un zoo et accueillait des animaux issus des quatre coins du monde. La nuit, résonnaient des bruits étranges, dont la présence se faisait ressentir jusqu’à la cime des arbres. Comme un souvenir de ce passé révolu, l’installation tente de représenter ce que murmuraient les animaux à la terre. À travers leur empreintes, celle d’une faune et d’une flore, chaque carreaux d’argile ont comme enregistré leur passage, dont la mémoire habite le parc.
Plaques d'argile crue, empreintes
2024